Psybonheurs

Les psybonheurs des psycopains

Que faites-vous pour vous faire plaisir ? Pour vous récompenser ? Quelles petites gâteries vous permettez-vous ? Quels moments privilégiés contribuent à votre petit bonheur quotidien ? Qu'est-ce qui donne un sens à votre vie ? Un de mes petits bonheurs à moi serait de vous voir partager sur ce site quelques-uns de vos petits bonheurs à vous...

Ne sous-estimez pas l'importance des petits bonheurs quotidiens. L'Ordre des Psychologues du Québec l'a bien compris en centrant une campagne publicitaire sur ce concept (vous avez sûrement vu l'annonce télé avec Mario Jean en 1999). Ces petits moments de bonheur sont, me semble-t-il, primordiale à une bonne santé mentale.

N'hésitez pas plus longtemps, nous avons tous de petites choses qui nous rendent heureux ; de les partager pourrait donner des idées à ceux qui en manquent. Envoyez-moi vos petits bonheurs quels qu'ils soient : un contact avec la nature, une expérience paroxystique, un doux instant entre amoureux, l'extase devant les prouesses de votre progéniture, les frissons provoqués par une scène de film, une chanson, un poème, un tableau, etc.

M. Sourire sera partout sur les Pages de M. Psytami pour faire des liens vers vos psybonheurs... Et sur les pages de psybonheurs elles-mêmes, vous pouvez accéder d'un psybonheur à l'autre en cliquant sur le M. Sourire de gauche ou de droite.

M. Psytami lui-même essayera de vous parler des siens, surtout ceux qui sont associés aux matériel déjà présent sur le site.

Quant à moi, en voici un que j'aimerais partager avec vous :

Parfois, quand je me réveille au milieu de la nuit, j'en profite pour m'arrêter dans l'embrasure de la porte de chambre de mon garçon. Sur la pointe des pieds, je vais même me rapprocher, simplement.... pour l'écouter dormir. Saisir au passage ce moment de détente absolue. Le rythme de sa respiration me rassure sur son état.

Je m'émerveille devant une telle fragilité exprimée avec une confiance aveugle envers moi et envers la vie. Il me rappelle l'importance de respecter mon rythme et mes limites, de prendre mon temps et de ne pas m'en faire pour des riens.

Pendant quelques secondes, mes préoccupations pour le sort de l'humanité, les nouvelles conditions politiques, économiques ou sociales, ou tous mes tracas quotidiens disparaissent face à sa toute simple sérénité...

José (1999).

 

 

 

 

Pour me faire plaisir, j'aime lire la liste ci-dessous en essayant de m’imaginer en train de faire quelques-unes de ces folies. Ça me fait rire à tout coup. Personnellement, je n’ai jamais osé en faire une, mais peut-être que je devrais en essayer un jour, question de montrer aux autres que je peux être un peu fou moi aussi, ou simplement le faire par défi, pour me montrer à moi-même que je n’ai pas peur d’avoir l’air fou ou d’être réprimandé.

Petits commentaires sur un grand vide

J’ai souvenir d’avoir adoré ce roman de Patrick Senécal, Le vide1, à un point tel qu’il a sa place parmi mes psybonheurs. C’est dur, déprimant, sombre, mais je crois que cette noirceur nous aide à voir l’étincelle de lumière que peut dégager les petits bonheurs autour de nous. Nous sommes intérieurement beaucoup plus lumineux que le vide qui prévaut dans notre société.

Roger

L’humain est beau. Certains d’entre eux ont touché mon cœur dans le court laps de temps où je les ai fréquentés. Roger est l’un de ceux-là. Il m’a rappelé combien l’humain peut être beau, même lorsque c’est un parfait inconnu.

Après « Minuit, le soir »

Voilà une génératrice de psybonheurs, une série télé comme il ne s’en fait plus. Je me rappelle que ce texte avait été lu, en grande partie, à la radio – à une station dont je ne me souviens plus – parce que j’avais répondu à leur question : Que pensez-vous de la finale de Minuit, le soir 1

Voici un de mes psybonheurs que j'ai de la difficulté à définir. J'aime les gens qui vont un peu à contre-courant et qui dénoncent des petits irritants de la vie quotidienne, encore plus quand ces petits irritants sont communs mais ne sont pas considérés comme tels par une certaine masse de la population. Je veux parler de ces chaînes de lettres qui polluent nos courriels et qui proviennent généralement... d'amis (ou de ceux qui m'ont encore dans leur liste de contact).

Pourquoi me faire vacciner ?

Je suis toujours fasciné de voir combien certaines choses ne changent pas. J’aurais pu écrire ce texte en 2020, pourtant je l’ai fait en 2009. On parlait de la vaccination contre la H1N1 et cela avait provoqué les mêmes peurs et interrogations qu’avec la COVID-19, 10 ans plus tard.

De solitaire à solidaire

Ce texte d’il y a 15 ans (publié sur mon blog Paroles de Psy en avril 2009) est truffé de psybonheurs : j’y parle de mon ami « l’imaginaire » qui a comblé ma solitude d’enfant, de mes nouveaux projets communautaires et culturels qui ont comblé mes rêves de solidarité et d’un film que j’ai adoré, Adaptation, qui relie tout ça en moi. 

Gros comme un panda

Aujourd’hui, après avoir vu passer une pub de Kung Fu Panda 4, j’ai eu envie de relire ce vieux texte. Je l’ai écrit et publié le 16 juin 2008, sur un de mes premiers blogs, alors même que, dans ma première expérience de comédien amateur, j’interprétais le grand Cyrano de Bergerac 1. Ce texte me rappelle donc tellement de bons moments que, en le relisant, j’ai eu envie de le republier dans mes psybonheurs. Néanmoins, j’hésite aussi à le glisser parmi mes psy’textes parce qu’il traite d’un sujet très sérieux et – même après 16 ans – toujours d’actualité : les préjugés basés sur l’apparence et, notamment, la grossophobie.

MPMC

Please publish modules in offcanvas position.